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Relation émotionnelle entre l’homme et le lieu
- La manière dont les individus perçoivent, ressentent et interagissent avec leur environnement bâti.
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Traumatismes collectifs et leur impact sur les espaces urbains
- Guerres, catastrophes naturelles, crises sanitaires et leurs conséquences sur les mémoires individuelles et collectives.
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Perception des lieux marqués par le traumatisme
- Comment ces espaces sont perçus émotionnellement et symboliquement après un événement traumatique.
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Architecture et guérison
- Transformation des lieux chargés de souffrance en espaces de soutien, de réconfort et de résilience.
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Care spatial
- L’architecture et l’aménagement urbain en tant qu’approches de soin et de soutien aux communautés affectées.
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Résilience communautaire et réconciliation
- Rôle de l’environnement bâti dans la reconstruction psychologique et sociale des populations.
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Principes architecturaux pour la résilience
- Élaboration de stratégies architecturales et urbanistiques pour concevoir des espaces qui favorisent la guérison et la cohésion.
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Interaction entre psychologie, architecture et urbanisme
- Étude interdisciplinaire de l’impact des traumatismes sur les comportements et les perceptions des espaces.
- Géographie humaine et urbaine
- Architecture
- Urbanisme
- Psychologie environnementale : Impact des environnements bâtis sur les émotions, le bien-être et les comportements.
- Sociologie urbaine
- Anthropologie culturelle
- Patrimoine et mémoire
La relation entre l'architecture et l'expérience humaine est particulièrement cruciale dans les contextes marqués par des traumatismes collectifs. Cette thèse propose d'explorer comment les lieux, souvent chargés de souffrance, peuvent être perçus et transformés pour devenir des espaces de guérison. En examinant les interactions entre traumatismes psychologiques et perception des lieux, cette recherche vise à établir des principes architecturaux favorisant la résilience et la réconciliation des communautés. Il s’agira également de peser l’architecture comme pouvant faire partie d’une approche de care spatial.
Les traumatismes collectifs, qu'ils résultent de guerres, de catastrophes naturelles ou de crises sanitaires, laissent des marques indélébiles sur les mémoires individuelles et collectives.
Comprendre comment ces expériences altèrent notre relation avec l'environnement bâti est essentiel pour concevoir des espaces capables d'apporter soutien et réconfort. La transformation architecturale de ces lieux en outils de guérison représente un enjeu majeur tant sur le plan psychologique que social.
Dans quelle mesure les traumatismes influencent-ils la perception et l'expérience des lieux, et comment la reconfiguration architecturale et urbanistique de ces espaces peut-elle être conçue comme un vecteur de guérison, tant sur le plan individuel que communautaire?
Corinne Luxembourg