Publications 2015

Récits de société, revue Itinéraires. Littérature, textes, cultures N° 2015-1. 2015

Sous la direction de Mireille Brangé et de Magali Nachtergael

Quelle approche critique pour aborder les « innombrables récits » (Barthes) qui traversent et construisent notre imaginaire social ? Prise en tenailles entre le storytelling et le grand roman social, la notion de récit de société peut-elle réconcilier la littérature avec les usages communs de la narration, de l’anecdote au journalisme littéraire ? Dans l’optique d’un rapprochement disciplinaire entre histoire, littérature et sciences de l’information, ce volume interroge les formes que peut prendre le récit littéraire dans son amplitude à la fois générique et thématique. Il aborde d’abord l’idée de « récit de société » en la confrontant à des contre-modèles comme les mythes ou le storytelling, tout en intégrant la possibilité d’une approche transmédiale. Dans un second temps, le récit de société est travaillé comme un outil qui dépasse et transcende les genres littéraires, pour enfin agir comme un révélateur de désordres sociaux. La fiction narrative endosse alors un rôle de contre-pouvoir régulateur qui permet de reconfigurer les imaginaires, les repolitiser ou en faire apparaître les tabous. Le dossier est complété par une sélection de varia portant sur le Québec entrant en résonance avec le thème principal du volume avec un accent particulier mis sur les performances, les légendes et les pratiques musicales des Premières Nations.

Sommaire

Mireille Brangé et Magali Nachtergael, Présentation

Construction d’une notion

Ambre Abid-Dalençon, « Ceci est un récit » : prétentions et imaginaires narratifs en régime médiatique et marchand
François Dingremont, Pour une conception non utilitariste du storytelling
Sabrina Parent
, Fables « intermédiales » du temps, entre « mémoire du futur » et « mémoire de l’oubli » : L’Énigme du retour de Dany Laferrière et Ghosts are Guests de Myriam Hornard

Traversée des genres

Sophie Létourneau, La pensée magique en Californie : Where I Was From de Joan Didion
Pascal Gin, Souci narratif et enjeux de mobilité : le récit de société à l’épreuve du reportage littéraire
Thomas Vuong, Vie sociale et vie intérieure : la position lyrique dans les sonnets de Gwendolyn Brooks, Pier Paolo Pasolini et Tony Harrison
Ioana Andreescu, Saisir le « non-lieu » : usages utopiques de l’île dans la littérature européenne d’après-guerre

(Dés)ordres sociaux

Véronique Desnain, Style et idéologie dans le roman noir
Jacqueline Guittard, Autopsies en séries : la transparence et l’ombre

Varia

Isabelle St-Amand, La légende du windigo dans la création autochtone contemporaine au Québec
Jonathan Lamy Beaupré, Action-création : l’art de performance amérindien au Québec
Sophie Stévance, Les performances d’improvisation de Tanya Tagaq : une analyse descriptive de la culture ethno-pop

Pour lire la revue en ligne, cliquer ici

Crédits image : © Jason Rhoades, Untitled (From the body of work: My Madinah: in pursuit of my ermitage…), 2004, Hauser & Wirth – David Zwirner. Courtesy of Art Basel (DR).

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Autour du Feu d’Henri Barbusse. Revue d’histoire littéraire de la France. 2015

de Denis Pernot et Sylvain Ledda (dirs.)

Ce numéro constitue l’aboutissement de la journée d’études sur le même sujet qui avait été soutenue par le laboratoire Pléiade.

Table des matières

Autour du Feu d’Henri Barbusse Sylvain LEDDA et Denis PERNOT, Présentation
Jérémy CAMUS, Depuis Le Feu jusqu’à Clarté : sacralisation barbussienne de la Grande Guerre
Ariane CHARTON, Barbusse et Alain-Fournier
Hervé DUCHÊNE, Comme un Hermès à deux têtes : L’Appel du sol d’Adrien Bertrand et Le Feu d’Henri Barbusse
Benjamin GILLES, Le Feu face à ses lecteurs. Une expérience de la lecture en 1916-1918
Sylvain LEDDA, Requiem ou symphonie funèbre ? Réflexions sur la mort dans Le Feu
Denis PERNOT, La guerre hors Le Feu : suppliants et crieurs
Esther PINON, Du Feu à Jésus : Henri Barbusse et le sacré
Bernard PUDAL, Barbusse : jalons pour une étude d’un capital symbolique singulier
Danielle RISTERUCCI, Lire Le Feu d’Henri Barbusse à l’ombre du mur
Françoise SIMONET-TENANT, Du carnet de notes au Feu : transposition ou métamorphose ?
Denis PERNOT, Le lexique du Feu : six lettres d’Henri Barbusse à Gaston Esnault
Henri BARBUSSE, « L’Espion » (L’OEuvre, 21 août 1916)

Varia

Francesco MONTORSI, Les choux gras de Panurge, la croisade de Léon X et le schisme de Luther
Bruno TRIBOUT, Aspects de la mémoire des mazarinades : réception de Mazarin et critique politique sous Louis XIV
Makoto MASUDA, Théorie du rythme et poétique de la rêverie chez Jean-Jacques Rousseau
Alain VAILLANT, Paule PETITIER, Qui fait la bête fait l’ange. Notes sur l’oiseau romantique
Nadja COHEN, Littérature « pure » et cinéma dans les années 1920 : quelques frictions génériques

Notes et documents

Patrick LABARTHE, Georges Blin et l’« alchimie de la douleur »

Références

CollectionRevue d’histoire littéraire de la France”
ISBN : 978-2-13-065380-6
ISSN : 0035-2411
ISSN en ligne : 2105-2689

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La Cour céleste. La commémoration collective des saints au Moyen Âge et à l’époque moderne, Turnhout, Brepols. 2015

de Olivier Marin et Cécile Vincent-Cassy (eds.)

Avec la collaboration de Murielle Gaude-Ferragu, Marie-José Michel et Andreas Sohn

En régime chrétien, le culte des saints ne met pas à l’honneur des personnages solitaires. Une même église, une même confrérie, un même autel sont d’ordinaire dédiés à plusieurs patrons; sur un même retable se pressent volontiers des cohortes de saints; en maintes circonstances, la liturgie aime égrener, par exemple dans le Canon de la messe ou sous la forme familière des litanies, les différents chœurs des élus.

Partant du constat que l’hagiographie n’est pas seulement vouée à l’exaltation du singulier ou de l’exceptionnel, le colloque s’est intéressé aux logiques qui ont présidé à la formation de ces associations plus ou moins larges de saints : est-ce purement et simplement addition d’intercesseurs augmentant leur efficacité par accumulation ? Comment se concilient les impératifs antithétiques d’exhaustivité et d’exemplarité ? De quelle ecclésiologie, faite de solidarité mais traversée aussi de conflits sous-jacents, ces dévotions collectives sont-elles porteuses?

Telles sont les questions auxquelles tentent de répondre une vingtaine d’historiens de l’art, liturgistes, littéraires, historiens, théologiens, anthropologues spécialistes du Moyen Âge et de l’époque moderne. En confrontant les études de cas sur une très longue durée et à l’échelle de tout le continent européen, ils posent les premiers jalons d’une histoire de la communion des saints, un objet hybride qui noue la dogmatique chrétienne, la pastorale déployée sur le terrain et les pratiques symboliques par lesquelles les fidèles l’ont diversement reçue.

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La vallée de Montmorency aux XVIIe et XVIIIe siècles. Paysage, économie et société aux portes de Paris, Les Indes Savantes. 2015

de Florent Merot

Préface de Marie-José Michel

À quelques kilomètres de Paris, la vallée de Montmorency constitue un laboratoire privilégié pour observer les évolutions paysagères d’une région ainsi que les rapports tissés entre les sociétés humaines et leur environnement quotidien au cours des XVIIe et XVIIIe siècles. Sous l’influence immédiate de la capitale et de ses multiples demandes, les ruraux mettent à profit les destructions causées par la Fronde pour procéder à une réorganisation totale de leur espace de vie. Du champ au village, des axes de communication à la forêt, le paysage est pensé pour être le plus productif possible et accompagner les rythmes de la croissance démographique locale et urbaine. Dès le règne de Louis XIV et jusqu’à l’aube du XIX siècle, la beauté naturelle des panoramas, l’incessante innovation et le savoir- faire des habitants, l’optimisation unique du système agricole font du vallon un petit pays universellement célèbre, de l’Europe jusqu’aux Amériques.

À propos de l’auteur

Florent Merot est docteur en histoire et docteur d’honneur de l’Université Paris 13. Membre du laboratoire Pléiade (Université Paris 13), il est spécialiste de l’histoire des campagnes parisiennes sous l’Ancien Régime. Ses recherches portent notamment sur les échanges économiques, sociaux et culturels entre les mondes ruraux et urbains, sur l’aménagement des paysages et les rapports qu’entretiennent les sociétés villageoises avec leur environnement.

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Poux, puces, punaises, la vermine de l’homme. Découverte, descriptions, traitements, Antiquité, Moyen-Âge, Époque moderne, Paris, L’Harmattan. 2015

de Franck Collard et Évelyne Samama (dirs.)

Parmi les nuisances du quotidien, en des temps d’hygiène sommaire et de promiscuité, les parasites de l’homme que sont poux, puces et punaises ont tenu une place rien moins qu’anecdotique. Mais leur trivialité a longtemps détourné le regard des historiens de ces créatures minuscules. Où et comment a-t-on pensé, décrit, répertorié et représenté ce qui ne se nomme « parasites » que depuis le XVIIIe siècle ? Comment a-t-on expliqué à la fois leur origine, leurs modes d’existence et leurs modes d’action ? S’ajoutent des questions sur la vision symbolique, voire spirituelle, de ces créatures participant de la misère de l’homme mais aussi, croit-on, de la gloire divine de l’engendrement sans accouplement, censé caractériser leur génération. La dimension médicale concerne les pathologies liées aux « parasites » ainsi que les protocoles thérapeutiques mis en œuvre. Ces moyens incluent aussi des procédures non pharmacologiques voire non savantes, comme l’épouillage qui a beaucoup intéressé anthropologues et ethnologues. Sujets de considérations scientifiques, ils sont aussi objets de création artistique et langagière. Historienne, c’est-à-dire soucieuse de comparer les époques et les aires pour mettre en évidence les transmissions, les permanences et les évolutions, la démarche confronte les données matérielles, textuelles et iconographiques.

Le colloque s’est tenu à Saint-Quentin-en-Yvelines, à Paris et à Nanterre, les 11, 12 et 13 mars 2015, avec le soutien de trois laboratoires, Pléiade (Université Paris-13 SPC), CHiSCO (Université de Paris-Ouest Nanterre La Défense) et DyPaC (Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines), et de l’ED 395 de l’Université de Nanterre. Il a été rendu possible grâce au Forum « Jeu et Société », ainsi qu’à la région Île-de-France qui ont permis, de surcroît, la publication de ces actes.

Auteurs

Mireille Ausecache, Susan Baddeley, Thierry Bardinet, Marie-Christine Bornes-Varol, Irene Cala, Franck Collard, Isabelle Draelants, Candida Ferrero Hernandez, Patricia Gaillard-Seux, Bernard Grunberg, Alessia Guardasole, Jean-Bernard Huchet, Mehrnaz Katouzian-Safadi, Kouthar Lamouchi-Chebbi, Camille Le Doze, Marie-Sol Ortola, Stanis Perez, Antoine Petit, Antoine Pietrobelli, Caroline Polet, Joëlle Ricordel, Evelyne Samama, Georges Sideris, Benoît-Michel Tock, Sophie Tonolo, Catherine Veron-Issad, Juliette Vion-Dury

SOMMAIRE

AVANT-PROPOS
PREMIÈRE PARTIE
Mots, maux et traces : découvrir, identifier, nommer
DEUXIÈME PARTIE
Connaître et combattre la vermine
TROISIÈME PARTIE
Du corps à l’esprit
Résumés des communications
Bibliographie sommaire
Index auctorum operumque

Index verborum nominumque potiorum

Références

Poux, puces, punaises, la vermine de l’homme. Découverte, descriptions, traitements, Antiquité, Moyen-Âge, Epoque moderne, Paris : L’Harmattan, 2015
410 pages
ISBN : 978-2-343-07898-4

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Roland Barthes contemporain de, Max Milo. 2015

de Magali Nachtergael

La pensée de Roland Barthes n’a en rien perdu de son actualité. En popularisant la sémiologie, le théoricien a modifié notre rapport aux formes et au monde. À travers la postérité de son œuvre dans l’art contemporain, on découvre dans ce livre un Barthes artiste, critique, théoricien, politique, romantique subversif, et toujours à la pointe du contemporain.

L’année 2015 marque le centenaire de la naissance de Roland Barthes, à cette occasion, les éditions Max Milo publient un beau livre sur ce critique et théoricien qui a modelé notre représentation contemporaine du champ visuel et esthétique.

De Mythologies au « vivre ensemble », la pensée de Roland Barthes n’a en rien perdu de son actualité. Mais celui qui a popularisé la sémiologie en France pourrait bien avoir bouleversé le paysage artistique du xxe siècle et, au-delà, modifié notre rapport aux formes et au monde.

A travers la postérité de son œuvre dans l’art contemporain, on découvre dans ce livre un Barthes artiste, critique, théoricien, politique, romantique, subversif, et toujours à la pointe du contemporain.

Ce beau livre sur “Roland Barthes et les arts” rappelle l’importance de Barthes sur la création artistique contemporaine et l’impact de sa pensée esthétique. L’ouvrage est articulé autour de chapitres présentant les écrits de Barthes sur les arts visuels, ses propres activités artistiques comme espace empirique et de simulation théorique et, enfin, sa réception dans l’art et le discours de l’art contemporain afin de réévaluer l’importance de son influence sur l’histoire de l’art récent.

Publié avec le soutien de Pléiade (EA7338), Les Contemporains, le Frac collection Aquitaine, la Machine à Lire (Bordeaux), le centre d’art image/imatge et le musée des Beaux Arts de Libourne.

Sommaire

Introduction
Mythologies de l’art
Théâtres photographiques
Le goût du neutre
Barthes conceptuel
La jeune fille au piano ou le romantisme contemporain
Utopie, sexe et ordre subversif
Conclusion
Bibliographie sélective

Références

ISBN : 978-2-31500-624-3
Illustrations : 77 en couleur
192 p.

À propos de l’auteur

Magali Nachergaelest maîtresse de conférence en littérature et arts à l’Université Paris 13. Elle a auparavant enseigné l’histoire de l’art à l’université de Bordeaux (2005-2008) et est l’auteur de Mythologies individuelles, récit de soi et photographie au XXe siècle (Rodopi, 2012), et co-auteure de Histoire de l’art d’un nouveau genre (Max Milo, 2014).

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Rue à sens unique, Allia. 2015

de Walter Benjamin

Traduit de l’allemand par Anne Longuet Marx

Voici un ouvrage d’un genre nouveau, dans lequel Walter Benjamin pratique le collage à la manière de ces amoureux des télescopages poétiques que furent Dada et les surréalistes. Rue à sens unique se compose de notes autobiographiques, de souvenirs d’enfance, d’aphorismes, de scènes de la vie urbaine, de considérations acérées sur l’état du monde, et de l’Allemagne en particulier, mais aussi de réflexions sur l’écriture elle-même, sur la graphologie. Benjamin­ se penche par exemple sur l’entrelacs des manuscrits arabes. Voire va-t-il jusqu’à donner des conseils à l’écrivain : par exemple, ne jamais faire lire une œuvre non encore achevée ; une musique et quelques voix en fond sonore sont recommandées, de même que l’attachement maniaque à tel type de papier ou à telle plume. Benjamin rend compte par la même occasion de l’éclatement de l’écrit dans la signalétique qui émaille nos villes, désormais parsemées de messages à décrypter. Arrachée du livre imprimé, son asile de prédilection, l’écriture se retrouve désormais dans la rue, à travers la publicité, prise dans le chaos d’une économie devenue toute-puissante. Et l’auteur ne manque pas d’humour en ce sens, reprenant pour titre de ses pensées les recommandations, mises en garde et autres slogans assenés dans nos villes : “Travaux publics”, “Défense d’afficher”, “Attention aux marches” ou encore “Allemands ! Buvez de la bière allemande”. Emprunter cette Rue à sens unique, c’est se laisser entraîner dans une dérive au cœur d’une ville certes de papier mais dont les mots fournissent autant de repères urbains pour qui sait jeter des passerelles. Du reste, entre la ville décrite et le paysage fait de mots que dessine l’écrivain, il n’y a pas loin, quand Benjamin nous propose de découvrir les “principes des pavés ou l’art de faire des livres épais”.

Références

128 p.
ISBN : 979.10.304.0053.3

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Revue de presse

Écouter la chronique dans l’émission de France Culture, les Nouveaux chemins de la connaissance

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Metalinguistic Discourses, Newcastle-upon-Tyne, Cambridge Scholars Publishing. 2015

de Viviane Arigne et Christiane Rocq-Migette (eds.)

Table of Contents

Acknowledgements
Introduction, Viviane Arigne and Christiane Rocq-Migette
Chapter One, Metalinguistic Discourse and Formal Representation, Jean Pamiès
Chapter Two, Generative Grammar and Cognitive Linguistics: On the History of a Theoretical Split in American Linguistics, Jean-Michel Fortis
Chapter Three, Metalinguistic Enunciative Systems. An Example: Temporality in Natural Languages, Jean-Pierre Desclés and Zlatka Guentchéva
Chapter Four, From Functions to Metafunctions: The Sources of British Functional Linguistics, Charles-Henry Morling
Chapter Five, Gradients, Scales, Clines, and Structural Ambiguity, Olivier Simonin
Chapter Six, Are Possible Worlds Necessary? Evaluating Theories of Modality, Kate Judge
Chapter Seven, Irony in Two Theoretical Frameworks: Relevance Theory and Argumentative Polyphony Theory, Tomonori Okubo
Chapter Eight, Pragmatic vs. Enunciative Views of Spoken English Discourse: Interpreting the Prosody of Certain Parenthetical “Comment Clauses”, Steven Schaefer
Notes
Bibliography
Contributors
Index of Cited Authors
Subject Index

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Sade, écrivain polymorphe, Paris, Honoré Champion. 2015

de Anne COUDREUSE

Sade est ici considéré sous l’angle de la curiosité dans son écriture des romans célèbres mais aussi de pièces de théâtre, souvent négligées. Il s’agit de s’interroger sur l’apathie dans les textes dramatiques de Sade, au miroir de ses romans, où elle constitue une des catégories majeures des libertins, aussi bien dans leur pratique que dans leurs références philosophiques.

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À propos de l’auteur

Anne Coudreuse est maître de conférences HDR en Littérature française du XVIIIe siècle à l’Université Paris 13 Sorbonne Paris Cité et membre honoraire de l’Institut universitaire de France. Elle a publié Le Goût des larmes au XVIIIe siècle en 1999 (réédition Desjonquères, 2013) et Le refus du pathos au XVIIIe siècle (Champion, 2001). Elle a dirigé un volume portant sur Les Mémoires : une question de genre ? (L’Harmattan, 2011) et co-dirigé deux collectifs : Pour une histoire de l’intime et de ses variations (L’Harmattan, 2009) et Sade et les femmes : ailleurs et autrement (L’Harmattan, 2014). Chroniqueuse pour la revue Les Moments littéraires, elle s’intéresse aux écritures de soi et à la représentation des Lumières dans la littérature contemporaine.

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