Motion votée par l’UR Pléiade

Motion budget 2025 universités

L’UR PLEIADE s’inquiète du projet de loi de finance 2025.

Le projet présente la plus faible part du budget de l’État dévolue à l’enseignement supérieur et à la recherche depuis plus de vingt ans.

Ce budget compromet de fait l’avenir de l’enseignement supérieur et de la recherche publics.

C’est pourquoi l’UR PLEIADE réclame un budget permettant véritablement à l’ensemble des acteur·rices de l’enseignement supérieur et de la recherche de remplir leurs missions.

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AAC – De quelles peurs le genre est-il le nom ?

De quelles peurs le genre est-il le nom ?

DATE LIMITE DE SOUMISSION : 7 JANVIER 2026

RÉSUMÉ

Nous interrogeons les peurs et résistances suscitées par les études de genre et les mouvements anti-genre, qualifiés de «  panique morale  ». Il valorise les apports critiques des études de genre à l’émancipation, à la justice sociale et au care, tout en analysant les logiques de délégitimation, les effets institutionnels et politiques, ainsi que les fragilisations psychiques et matérielles. L’événement accueille des contributions variées (sciences sociales, arts, architecture, santé, etc.) pour explorer les discours, imaginaires, conséquences et formes de résistances aux politiques d’égalité, en France et dans le monde, et promouvoir une réflexion sur les dynamiques d’émancipation contemporaines.

Communications classiques, posters, performances, vidéos, lectures, témoignages : toutes les formes de réflexion et de restitution sont envisageables. 

Pour cela il convient d’envoyer une proposition (peu importe le format) à l’adresse suivante colloquegenre2026@gmail.com avant le 7 janvier.

Le comité d’organisation adressera ses réponses le 15 janvier.

Ces propositions doivent comprendre :

  • Votre / vos nom(s) et affiliations universitaires, professionnelles ou associatives
  • Un titre et un résumé de votre proposition (2500 signes, espaces comprises)
  • Une courte biographie (500 signes, espaces comprises) et bibliographie

A la suite de ces deux journées, nous envisageons rapidement la possibilité d’une publication : à cette fin, les textes issus des communications seront à rendre pour le 15 juin. D’autres informations à ce sujet seront transmises ultérieurement. 

Le colloque aura lieu à Paris, Campus Condorcet les 5-6 mai 2026.

La proposition doit comporter un résumé (10-15 lignes maximum), un titre provisoire et une brève bio-bibliographie.

Autres appels

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Trouble dans la cartographie Contre-cartographie et changements de paradigme

Trouble dans la cartographie Contre-cartographie et changements de paradigmes

DATE LIMITE DE SOUMISSION : 1ER DÉCEMBRE 2025

RÉSUMÉ

La cartographie est intimement liée à l’exercice du pouvoir. Adoptée par les empires, les Églises, les grandes compagnies commerciales ou les États, elle a été une modalité de la mainmise sur les territoires et les espaces. À grande échelle, les cartographes devaient recenser les terres agricoles, à petite échelle, les routes, les villes et les côtes et la sémiologie était déterminée en fonction de ce qui avait de l’importance pour la spéculation ou l’extractivisme. Aujourd’hui, sous les multiples couches des cartes techniques que produit la géomatique, se révèlent les préoccupations prioritaires des administrations : les réseaux, les droits de propriété, ce qui peut être aménagé, ce qui doit être protégé.

Dans l’univers académique, la cartographie a fait l’objet d’une codification et d’une standardisation de plus en plus pointilleuses, aboutissant à une sémiologie de plus en plus étroite. Des classes primaires jusqu’aux formations des ingénieur·es, un protocole d’apprentissage inculque le sens de ce qui est important et mérite d’être cartographié selon des ordres hiérarchiques convenus. Au xxie siècle, les processus de digitalisation et l’économie de plateformes ont fait entrer l’humanité connectée dans de multiples cartes où les individus produisent en continu des informations qui permettent non seulement de qualifier mais aussi de donner de la valeur aux lieux. Désormais se pose la question du sens de cette nouvelle cartographie géolocalisée, permanente et standardisée au point d’accompagner chaque action au profit de nouveaux opérateurs privés qui marchandisent tout aussi bien les déplacements que les goûts et les envies. Ces nouvelles cartes ne sont plus de simples outils de la prise de décision ; elles assistent, guident, voire contrôlent, les usagères et usagers via des algorithmes de plus en plus sophistiqués.

Les cartes soutiennent les opérations de la grande transformation du monde au mépris des effets des projets d’infrastructures sur ce qui existe déjà, autant sur le vivant, humain et non-humain, que sur l’environnement. Cette violence cartographique se lit, a contrario, également dans le déni de ce qui n’est pas représenté sur les cartes officielles et qui pose la question profonde de la « reconnaissance » cartographique.

La déconstruction des cartes a mis au jour les enjeux de pouvoir qui sous-tendent la cartographie et le milieu académique interroge aujourd’hui la production et le recours aux cartes avec une prudence critique. Or, avec les Systèmes d’Information Géographique (SIG) et la dématérialisation numérique, la géovisualisation a pris le pas sur la cartographie et ce sont désormais les « data » qui sont au cœur du processus de création et d’analyse. La maintenance des banques de données occupe l’essentiel du temps des géomaticien·nes et le traitement graphique de leur travail se fait via des logiciels simplifiés qui appauvrissent largement la sémiologie cartographique au nom d’un processus continu de rationalisation et de fonctionnalisation. Les professionnel·les subissent à la fois une embolie des données cartographiques et un émiettement des connaissances géographiques qui impactent jusqu’à la validation des décisions politiques des administrations territoriales.

Le besoin d’une nouvelle cartographie se fait sentir et pose alors la question de l’intérêt général. Dans de nombreux domaines la représentation du territoire et de problèmes et enjeux à travers la cartographie se doit en effet d’impliquer toutes les actrices et acteurs de la cité afin de contribuer à une intelligibilité et à une décision motivée et partagée.. La démocratisation des techniques cartographiques et l’ouverture des données autour des nouveaux géocommuns numériques doivent ainsi contribuer à des pratiques partagées, qui concernent tout autant la recherche en sciences humaines et sociales que la société civile.

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Idéologie et imaginaire linguistiques en Espagne (1492-1625)

Idéologie et imaginaire linguistiques en Espagne (1492-1625)

Marie-Eglantine Lescasse

De 1595 à 1625 paraissent coup sur coup en Espagne un ensemble d’ouvrages essentiels sur la langue castillane, depuis les Discursos (1595) de Gregorio López Madera, jusqu’à l’Arte (1625) de Gonzalo Correas, définissant un moment particulièrement fécond de la pensée sur la langue. Sur la période, la langue castillane acquiert progressivement le statut de langue littéraire et de culture, qui était autrefois réservé aux langues savantes.

Depuis l’émergence d’un courant puriste, jusqu’à la mise à distance de l’héritage de la langue et de la culture latine, en passant par l’extravagante théorie du castillan primitif, c’est l’histoire de cette progressive émancipation et des multiples discours qu’elle a suscités que ce livre retrace.

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AAC – Intime et psyché : discours et représentations de la vie intérieure dans l’Europe de la première modernité

Intime et psyché : discours et représentations de la vie intérieure dans l’Europe de la première modernité

Appel à communications

Le volet IV du projet de recherche « Intime et intimité » – lancé depuis 2019 et qui a déjà donné lieu à 3 colloques et publications – aura lieu les 3 et 4 décembre 2026 à l’Université du Mans. Le thème retenu pour ce nouveau colloque international est Intime et psyché : discours et représentations de la vie intérieure dans l’Europe de la première modernité.

Les propositions de communication sont à envoyer avant le 1er avril 2026.

Langues acceptées : français, anglais, espagnol

La proposition doit comporter un résumé (10-15 lignes maximum), un titre provisoire et une brève bio-bibliographie.

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Colloque « Des liens aux réseaux du sang : controverses scientifiques et réactions sociétales. Europe occidentale, XVIe-XXe siècles » (12-13 novembre 2026)

[Appel à communication] Colloque « Des liens aux réseaux du sang : controverses scientifiques et réactions sociétales. Europe occidentale, XVIe-XXe siècles »

DATE LIMITE DE SOUMISSION : 15 JANVIER 2026

Colloque organisé par l’Université Sorbonne Paris Nord / UR PLEIADE et l’Institut de l’histoire des sciences de l’Académie polonaise à Varsovie les 12 et 13 novembre 2026

RÉSUMÉ

Le sang est un objet d’étude qui a traversé les siècles en raison de ses enjeux scientifiques et sociétaux. Ce fluide vital est vecteur de croyances et, dans certains cas, utilisé comme marqueur social indélébile. Il crée des tensions, des ostracismes, souvent avec le concours complice des instances de savoir ou de pouvoir.

La question est de déterminer en quoi le discours savant, traditionnel ou innovant, et les représentations populaires ont pu se mélanger ou, au contraire, se distinguer radicalement. Dans certains cas, les découvertes et les ruptures en termes de réception et de vision autour du sang et des liens qu’il génère ont pu conduire à des controverses intenses, parce qu’à l’encontre de conceptions traditionnelles jugées incontestables. Des discours savants se sont opposés, des réseaux se sont mobilisés. Changer la perception du sang des femmes, des étrangers ou des malades n’était pas sans conséquence. Mais, en l’état, ces turbulences autour d’un sang dont les qualités sont à reconsidérer sont encore mal connues.

Objectif du colloque

Nous souhaitons ouvrir cette réflexion à une large communauté de chercheur/ses : historiens et historiennes de la médecine et de la santé, spécialistes en hématologie, en génétique, mais aussi philosophes, ethnologues et sociologues. Cette diversité disciplinaire est indispensable pour comprendre la richesse des polémiques nées autour des « réseaux du sang » et la manière dont elles ont fait évoluer à la fois les savoirs, les pratiques, les gestes et les sensibilités. 

Nous aborderons, du point de vue des sciences humaines et sociales, les réseaux qui ont pu jouer un rôle autour des controverses relatives aux liens du sang dans leurs dimensions sociales, politiques et scientifiques. La diversité des normes, des espaces, des discours et des acteurs concernés ne sera pas éludée, bien au contraire. Nous nous interrogerons aussi sur la manière dont la compréhension des liens biologiques et familiaux, rendue possible par la génétique, a transformé, depuis plus d’un siècle, la définition normée et genrée de la « santé » (prise en charge des maladies héréditaires, anticipations thérapeutiques, nouvelles stratégies de soin). Cela nous permettra de mieux comprendre comment ces connaissances, plus ou moins bien acceptées, plus ou moins bien diffusées, ont contribué à transformer le rôle du sang et de ce qu’il contient dans le maintien de la cohésion familiale (l’ancien modèle aristocratique lié au fantasme de la pureté du sang résistait mal à la réalité des naissances « monstrueuses ») face à la maladie.

Zone géographique concernée : Europe méditerranéenne, occidentale et orientale.

Temporalité : XVIe-XXe siècles (période allant des premières théories sur la circulation sanguine aux premières percées scientifiques sur la génétique).

Thèmes abordés

  • Liens du sang, théories hématologiques et communautés savantes en opposition
  • Savoirs hématologiques et normes religieuses : une confrontation sous-estimée ? 
  • Expressions des sensibilités populaires au fil des progrès et des connaissances scientifiques sur le sang
  • Représentations des liens du sang comme sujet polémique dans les textes et les arts

Les objectifs que nous nous sommes fixés sont les suivants :

  • Comprendre l’impact des réseaux scientifiques européens dans les recherches sur les questions du sang et le développement des pratiques de santé qui s’y réfèrent
  • Comprendre l’incidence des découvertes scientifiques sur le sang sur les inégalités sociales et la perception des pauvres, de certains malades ou des étrangers
  • Observer la diversité des acteurs mobilisés pour améliorer la recherche sur le sang
  • Repenser l’être et la santé au fil des découvertes scientifiques sur le sang (préjugés et divisions des sociétés)
  • Redéfinition des liens sociaux et des rapports entre les sexes en fonction des évolutions des connaissances sur le sang (sang menstruel, ménopause)
  • Comprendre comment fut instrumentalisée la question du sang durant les crises sanitaires et sociales par les autorités publiques

Nous proposons d’articuler notre approche à travers quatre axes :

  • Les notions de liens et de réseaux du sang : théories et pratiques
  • La circulation des idées et des connaissances scientifiques sur le sang
  • La projection de représentations sur le sang et leurs évolutions
  • Les tensions scientifiques, politiques et sociétales au sujet du sang et des réseaux qu’il crée

Mots-clés thématiques

Sang, savoirs, normes, controverses, représentations.

Date limite de soumission

Les propositions de communication (300-400 mots) en français, en anglais ou en polonais, accompagnées d’une courte notice biographique, sont à envoyer d’ici le 15 janvier 2026 à 

sabrina.juillet-garzon@sorbonne-paris-nord.fr, renata.paliga@ihnpan.pl, sarah.pelletier@univ-paris13.fr, stanis.perez@univ-paris13.fr

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2024-1 | 2025 Représentations de la catastrophe au XXIe siècle dans les arts plastiques et la littérature : quelles réponses collectives et intimes ?

2024-1 | 2025
Représentations de la catastrophe au XXIe siècle dans les arts plastiques et la littérature : quelles réponses collectives et intimes ?

Coordinatrices : Elsa Ayache et Anne Coudreuse

Contributeur·trice·s : Ysé Sorel Guérin, Jeanne Devautour Choi, Richard Bégin, Marion Laval-Jeantet, Kenza Jernite, Olivier Long, Frédérique Toudoire-Surlapierre, Simon Bréan, Guillaume Bridet, Pascale Weber, Jovensel Ngamaleu, Abdoulaye Diouf

Lorsque des arts de la représentation (littérature, arts plastiques étendus aux arts de la scène, sonores et cinématographiques) s’intéressent en 2025 à la catastrophe, de quoi traitent-ils exactement ? Quels fils rouges traversent et rassemblent les œuvres ? Que disent les analyses qui les accompagnent et les positionnements qu’elles sous-tendent ? Si l’examen de la notion de catastrophe n’est pas nouveau, le xxie siècle a ouvert une ère marquée par une succession accélérée de crises écologiques, sanitaires, économiques ou politiques, locales et globales. Face à ces événements traumatiques, différentes modalités de réponses s’offrent à nous. Ce numéro interdisciplinaire propose d’en relever les points saillants selon une approche toujours sensible et nuancée. Ainsi, les questions de changements d’échelle, du rôle de la perception mais aussi du travail des médiums de l’art, de la force des images et des récits créés sont particulièrement observés. Transfigurations et prospections opèrent, nous permettant une traversée consciente et sensible des événements comme une compréhension enrichie du phénomène catastrophique. D’autres horizons culturels et méthodes de recherche se dessinent. Ils montrent enfin comment les réponses collectives et les expériences intimes demeurent plus que jamais entrelacées et interdépendantes.

Sommaire :

Elsa Ayache et Anne Coudreuse

Représentations de la catastrophe au xxie siècle dans les arts plastiques et la littérature : quelles réponses collectives et intimes ?. Introduction au numéro

ENJEUX DES POSITIONNEMENTS FACE A LA CATASTROPHE

Ysé Sorel Guérin

Les artistes et l’Anthropocène

Jeanne Devautour Choi

Défaire l’héritage d’une métonymie catastrophiste : vers une réappropriation littéraire de la représentation d’Haïti à l’occasion du séisme de janvier 2010

PERCEPTIONS ET MEDIUMS ARTISTIQUES DE LA CATASTROPHE

Richard Bégin

L’expérience sonore du désastre

Marion Laval-Jeantet

La lumière noire, une expression catastrophique

Kenza Jernite

Dramaturgies de la catastrophe : apocalypses, déluges et fins du monde sur les scènes contemporaines européennes

FORCE DES IMAGES ET DES RECITS : VERS QUELS TRANSFIGURATIONS ET RENOUVELLEMENTS CULTURELS ?

Olivier Long

Chimères de Daniel Richter (Danser la catastrophe)

Frédérique Toudoire-Surlapierre

Du bon usage scandinave du film-catastrophe

FICTIONS PROSPECTIVES ET RENOUVELLEMENT DES METHODES DE RECHERCHE

Simon Bréan et Guillaume Bridet

Voix narratives, voies politiques : du chaos imminent à des lendemains possibles ?

Pascale Weber

Imaginer la catastrophe

VARIA

Jovensel Ngamaleu

« Témoigner des périls de notre civilisation » : entretien avec Liliana Cora Foşalău

Abdoulaye Diouf

Écriture transpersonnelle et mise en question de l’intime dans Souvenirs pieux (1974) et Archives du Nord (1977) de Marguerite Yourcenar : perspective intermédiale

Lien vers le site de l’éditeur : https://journals.openedition.org/itineraires/16674

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Sous les verrous. Une histoire sociale de la prison (France, premier XXe siècle)

Sous les verrous. Une histoire sociale de la prison (France, premier XXe siècle)
Elsa Génard

Avoir froid, être sanctionné pour bavardage, n’envoyer des lettres qu’à des membres reconnus de sa famille, voir son pécule fondre quand la santé fait défaut, être incité à signer un engagement volontaire pour rejoindre le front en pleine Première Guerre mondiale… Les « papiers de prison » – registres, dossiers, bulletins, rapports, correspondances – donnent accès, pour qui prend le temps de les décortiquer, aux rapports de pouvoir et à la texture des vies enfermées. La prison républicaine y apparaît alors dans toute son historicité : un monde clos, ancré dans ses routines, mais traversé par les dynamiques sociales de son époque.

Historienne du quotidien, Elsa Génard jongle avec les sources pénitentiaires du premier XXe siècle, faisant feu de tout bois : elle compte, compare, recoupe les informations, identifie des récurrences, perce les formulations administratives, recompose les trajectoires biographiques. En s’emparant de cet univers en marge de la société pour en faire un modèle historiographique, elle propose ainsi à la fois une leçon de méthode et une réflexion sur le rôle et la place de la prison dans le monde contemporain.

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América latina desigual. Ocho casos emblemáticos para entender las desigualdades

América latina desigual. Ocho casos emblemáticos para entender las desigualdades

Ce livre aborde la question des inégalités en Amérique latine, depuis différents champs disciplinaires (géographie, histoire, sociologie, économie, anthropologie). Il propose plusieurs études de cas sur le Mexique, le Nicaragua, le Costa Rica, la République dominicaine, le Brésil, la Bolivie et le Chili.
Lien vers le site de l’éditeur :
 
https://ediciones.uahurtado.cl/producto/america-latina-desigual/
 
https://www.editions.ird.fr/produit/745/9782709930994/america-latina-desigual

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