Les Voix de la traduction

Les Voix de la traduction

Éditions Classiques Garnier

Présentation

Autrice : Mathilde Lévêque

Éditions Classiques Garnier

Collection : Perspectives comparatistes, n° 134

Série : Littératures de jeunesse, n° 3

Résumé :

Résumé : À partir d’une étude des romans pour la jeunesse, traduits et publiés en France à la fin des années 1960, cet essai entend proposer une nouvelle approche de la traduction destinée au jeune public en s’appuyant essentiellement sur des archives éditoriales, qui permettent d’entrer dans les coulisses de la traduction et de mieux comprendre la fabrique du roman pour la jeunesse.

Lien vers le site de l’éditeur : Les Voix de la traduction (classiques-garnier.com)

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Jacques Ier Stuart

Jacques Ier Stuart Couverture Éditeur : Ellipses, 2024 Coordinatrice : Sabrina Juillet Garzón Dernières publications Voir toutes les publications

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Les marges du Soleil. Un théâtre hors les normes

Les marges du Soleil. Un théâtre hors les normes

L’Harmattan – Univers théâtral

Présentation

Coordinatrices : Sandrine Siméon (Soka University of America) et Agathe Torti Alcayaga (USPN)

Contributeur·tice·s : Celia Daniellou-Molinie, Corinne Gibello, Pierre Longuenesse, Judith Graves Miller, Franck Pendino, Sylvie Perault, Serge Proust, Eliakim Sénégas-Lajus, Susie Vusbaumer, Rachel Morris Watson

Éditeur : L’Harmattan, Collection : Univers théâtral

Résumé :

Cet ouvrage explore de quelles manières les éléments de décentrage mis en œuvre au Théâtre du Soleil participent à la centralité de son projet artistique. Un vide incontestable existe dans la production universitaire et critique à ce sujet, que nous proposons de combler à l’aide d’une équipe de spécialistes dont nous avons organisé les contributions selon trois axes. Le lieu : situé à la périphérie de Paris, loin des mémoires théâtrales parisiennes normatives, le Soleil est un lieu propice au foisonnement de l’inventivité dramatique. Le jeu : l’adoption de traditions scéniques souvent lointaines, de techniques de jeu exogènes, rend cette troupe dépositaire de l’art théâtral tout entier. La transmission : ni sa fondatrice, ni ses membres, ni son public ne sont prêts à baisser le rideau pour la dernière fois, mais comment prolonger dans le temps une telle entreprise ? La question du devenir se pose aujourd’hui pour l’institution sortie des marges qu’est devenu ce théâtre.

Table des matières :

I. Le lieu

–       Cuisine et bienveillance, le Théâtre du Soleil et la marge nourricière. Agathe Torti Alcayaga      

–       Communauté ascétique, domination charismatique et rupture avec
la rationalisation étatique.
Serge Proust    

–       Les coulisses à vue du Théâtre du Soleil : rendre palpable l’invocation du théâtre. Eliakim Sénégas-Lajus

–       Jean-Jacques Lemêtre au théâtre du Soleil :  maître ou serviteur de scène ? Pierre Longuenesse   

II. Le jeu         

–       L’acteur, le masque et la marionnette dans Tambours sur la digue. Susie Vusbaumer

–       Une maïeutique originale : la construction du personnage et de son costume
au Théâtre du Soleil
. Sylvie Perault

–       (Re)membrance depuis la marge. Rachel Morris Watson

–       Aux marges du Méchant : incarner un personnage « méchant » au Théâtre du Soleil, entre dénonciation et émotion. Célia Daniellou-Molinié

III. La transmission

Les enfants nord-américains du Soleil : inspiration, résonances, écarts. Judith G. Miller

Le film-théâtre, « vrai film de cinéma » ou film hors-norme ? Sandrine Siméon

Les archives en marge du Théâtre du Soleil. Corinne Gibello-Bernette et Franck Pendino, avec Liliana Andreone   

Lien vers le site de l’éditeur : https://www.editions-harmattan.fr/index.asp

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Mathilde Lévêque invitée à France Culture (« Le Cours de l’histoire ») et France Inter (« Grand bien vous fasse »)

Mathilde Lévêque invitée à France Culture (« Le Cours de l’histoire ») et France Inter (« Grand bien vous fasse »)

A l’occasion du Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil, Radio France consacre plusieurs émissions à la littérature jeunesse. Le mercredi 29 novembre, Mathilde Lévêque était l’invitée du « Cours de l’histoire » de Xavier Mauduit (France Culture) pour parler de Babar et de la littérature de l’entre-deux-guerres. Elle a également participé à l’émission d’Ali Rebeihi, « Grand bien vous fasse » (France Inter) pour participer au débat intitulé : comment la littérature jeunesse aide nos enfants à grandir.

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Être de son siècle (Moyen Âge – XVIIIe siècle)

Être de son siècle (Moyen Âge – XVIIIe siècle)

Fabula (colloques)

Présentation

Éditeur : Fabula (colloques)

Coordinatrices : Mathilde Bernard, Carole Boidin, Flavie Kerautret et Florence Tanniou.

Contributeur·trice·s : Jean-Christophe Abramovici, Sophie Audidière, Claire Badiou, Mathilde Bernard, Carole Boidin, Alain Brunn, Maxime Cartron, Laure Depretto, Sébastien Douchet, Laurence Giavarini, Agnès Guiderdoni, Flavie Kerautret, Jean-Claude Laborie, Emmanuelle Mortgat-Longuet, Juliette Nollez, Elise Pavy-Guilbert, Lucie Rousseaux, Marine Roussillon, Zoé Schweitzer, Laëticia Tabard, Florence Tanniou, Trung Tran, Stéphane Van Damme, Nora Viet.

Résumé :

Ce collectif rassemble les actes du colloque qui s’est tenu à l’université Paris Nanterre en décembre 2021. Des acteurs institutionnels venant d’horizons divers (université, classes préparatoires, Inspection générale de l’Éducation nationale, directions de revues scientifiques) ont pu dialoguer sur les raisons qui président à la constitution d’une histoire littéraire qui associe étroitement un auteur à un siècle, à un mouvement, à une école, rigidifiant ainsi la pensée du fait littéraire et créant les conditions d’une transmission discutable. Les institutions ne sont pas seules en cause et la source de semblables assignations peut se trouver dans l’attitude des auteurs eux‑mêmes, dans leurs réseaux, leurs écrits. Être de son siècle tente donc d’établir des ponts entre les générations d’auteurs mais également de saisir les étapes critiques de l’inscription des auteurs dans l’histoire littéraire, en leur siècle.

Lien vers le site de l’éditeur : https://www.fabula.org/colloques/index.php?id=10228

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Jacques Ier Stuart Couverture Éditeur : Ellipses, 2024 Coordinatrice : Sabrina Juillet Garzón Dernières publications Voir toutes les publications

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Appel à communications, Conférence internationale : 20 ans de villes olympiques et de politiques culturelles, 2012-2032/ Perspectives comparatistes / Call for Papers, International Conference : 20 Years of Olympic Cities and Cultural Policy, 2012-2032/ Comparative Perspectives

Ce colloque international se propose d’explorer, à l’occasion de Paris 2024, la réinvention durable des Jeux Olympiques, de Londres 2012 à Brisbane 2032, d’un point de vue international et interdisciplinaire. Il s’agira de s’intéresser aux politiques culturelles spécifiques du méga-événement sportif mondial et d’étudier ses effets physiques et affectifs sur le développement local, en se concentrant sur le rôle de la création, de l’art public et du patrimoine aussi bien matériel qu’immatériel.

Appel à communications, Conférence internationale : 20 ans de villes olympiques et de politiques culturelles, 2012-2032/ Perspectives comparatistes / Call for Papers, International Conference : 20 Years of Olympic Cities and Cultural Policy, 2012-2032/ Comparative Perspectives Lire la suite »

Géohistoire des épidémies

Géohistoire des épidémies

CNRS Editions

Présentation

Auteur : Stanis PEREZ

Résumé : Cette synthèse propose une approche du type « géographie historique » des grandes épidémies ayant marqué l’Histoire. Des cartes inédites et des documents d’archives illustrent une réflexion engagée sur notre rapport à la santé, au corps et aux différents pouvoirs relevant de la biopolitique contemporaine.

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Jacques Ier Stuart Couverture Éditeur : Ellipses, 2024 Coordinatrice : Sabrina Juillet Garzón Dernières publications Voir toutes les publications

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Faire écran – Les réécritures de la Seconde Guerre mondiale dans les séries télévisées au temps de la guerre froide

Faire écran – Les réécritures de la Seconde Guerre mondiale dans les séries télévisées au temps de la guerre froide

Presses du Septentrion

Présentation

Autrice : Marjolaine Boutet

Résumé : Les séries télévisées des années 1960 à 1980 font partie de la « culture de guerre froide » et témoignent des évolutions de la mémoire de la Seconde Guerre mondiale dans cette période-clé. Comment ont-elles participé à la reconstruction des sociétés occidentales, et notamment à la construction européenne ? Qu’est-ce que le choc provoqué par la diffusion de la saga hollywoodienne Holocaust révèle de la mémoire de la Shoah, mais aussi des phénomènes d’américanisation et de résistance à l’américanisation à la fin des années 70 et dans les années 1980 ? Marjolaine Boutet nous propose ici une histoire transnationale de 13 séries télévisées états-uniennes, britanniques, françaises et allemande diffusées pendant la guerre froide, à destination d’un public toujours plus nombreux et en voie de globalisation.

https://www.septentrion.com/fr/livre/?GCOI=27574100331670

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Itinéraires. LTC « Fables du trauma » n°2022-3 | 2023

Sous la direction de Rym Khene et Alice Laumier

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Call for papers : “Back to Africa: Literary Representations of Return in African Literatures”

The French University Sorbonne Paris Nord, in collaboration with the Italian University of Bologna and the University of Modena and Reggio Emilia, is organising a one-day International Conference devoted to postgraduate students and early researchers on the topos of return in African literatures.

Context

After years spent in the USA as a migrant, Ifemelu, the protagonist of Chimamanda Ngozi Adichie’s Americanah (2013), realises that her home country, Nigeria, “became where she was supposed to be, the only place she could sink her roots in without the constant urge to tug them out and shake off the soil.” This “gravitational pull,” as Maximilian Feldner (2019) calls it, has been perceptible in African literatures throughout the years so much so as to represent one of its constitutive features.

In the still ongoing “age of the refugee, the displaced person, mass migration” (Said 1984), the need to return found in African Literatures seems, at first glance, to be at odds with the postcolonial debates around hybridity, cosmopolitanism, and rootlessness or route-oriented belonging. As Salman Rushdie (1983) declared, “roots […] are a conservative myth, designed to keep us in our places.” On a similar note, drawing from the Igbo knowledge system, Chinua Achebe (1994) employs the concept of rootlessness as a metaphor for writing: “If you’re rooted to a spot, you miss a lot of the grace. So you keep moving, and this is the way I think the world’s stories should be told — from many different perspectives,” he argued. Thus, how can return be tackled without mooring it to discourses imbued with essentialism, nationalism, and exclusion, all of which could potentially be derived from rootedness?

Perhaps, however, it is the very tension between routes and roots that should be overcome. It is what James Clifford (1997) attempted to do in his work Routes: Travels and Translation in the Late Twentieth Century. With the return, the homonymic opposition is resolved because coming back to one’s roots involves the act of travelling – routes. But can one ever come back home? As beautifully shown by the novel On Black Sisters’ Street (2011), originally written in Dutch by Nigerian writer Chika Unigwe, migrants, while abroad, might experience a kind of nostalgia. After their return, however, this nostalgia might morph into disillusion and even alienation, as shown by Obi, the protagonist of Chinua Achebe’s No Longer at Ease (1960).

Also, it is important to underline that people who come back are not the same as when they left: after having had to adapt to different – and sometimes hostile – environments and socio-cultural systems, returnees might face the same difficulty seen during the initial migration as they are reintegrating into their home country. The eponymous character of Kehinde (1994) by Buchi Emecheta, is precisely an example of such discomfort: once she comes back to Nigeria, she is forced into a polygamous relationship she struggles to accept after her husband decides to marry a second, younger woman in secret.

The return can either convey a sense of agency when triggered by the desire or need to escape from the racism and injustices of the host country, as in Sefi Atta’s A Bit of Difference (2012), or, on the contrary, a failure when it is imposed by the authorities of the host country as in Helon Habila’s Travellers (2019).

Drawing on all these issues, the conference aims to analyse how the phenomenon of return migration has been addressed and continues to be addressed in African Literatures. Indeed, while in migration studies, from the 1990s onwards, there has been a growing interest in return migration and the ways in which it shapes individuals in terms of identity changes and cultural shifts (King and Kuschminder 2022), the same cannot be said for literary criticism. While early migration studies conducted on return mobilities tended to offer a simplistic view of such phenomena (i.e., migrants moved from their native country to the place of destination and stayed for good or decided to return back after a while), today’s mobilities paradigm is way more complex and intricate. This complexity is mirrored in the recurrent topos of return in African literatures, which has taken multiple forms: from permanent reverse migration to brief “reconnections”, i.e., provisional returns (Knudsen and Rahbek 2019) or what is perceived as a return to an ancestral land by U.S. descendants of enslaved people, as in Ghanaian-American writer Yaa Gyasi’s Homegoing (2016).

Ideas of return, whether implemented or only intentional, re-emerge in different historical periods and places across the African continent: from Kwamankra, the protagonist of Ethiopia Unbound (1911) by Fante writer J. E. Casely Hayford, which might be the first fictional work dealing with return from the so-called mother-country, to the omnipresent figure of what in the Anglophone post-independent period was called the “been-to” i.e. a member of the elite, generally male, who undertook a period of study abroad and returned to contribute to the building of the newly sovereign states. This is the case of Baako, the protagonist of Fragments (1970) by Ghanaian writer Ayi Kwei Armah. Similar figures can also be observed in the francophone context in works such as Climbié (1956) by Ivorian writer Bernard Binlin Dadié or L’Aventure ambiguë (1971) by Senegalese writer Cheikh Hamidou Kane.

Today, more than ever, characters who return abound in African literatures: Nina in Loin de mon père (2010) by Franco-Ivorian writer Véronique Tadjo,Ike, the anti-hero of Foreign Gods, Inc. (2014) by Nigerian writer Okey Ndibe and Christine, one of the characters of Tropical Fish: Stories Out of Entebbe (2006) by Ugandan writer Doreen Baingana, to cite only a few examples. Like their authors, these returnees are part of a transnational context and straddle multiple nations in a way that not only makes them overcome the dichotomy between home and host country but also negotiate and redefine the meaning of “home”.

Aim

This one-day conference aims to investigate how the different forms of return to the African continent are represented in African literatures. We hope to welcome a wide variety of contributions from postgraduate and early-career researchers that do not exclusively focus on the Global North – Global South axis but also on infra-continental patterns of migration as well as understudied migratory axes within the Global South. While, for pragmatic reasons, contributions will be delivered in English, we hope they will tackle narratives of return from different African countries and in a variety of languages, both local and national.

Individual or joint papers will be allotted 20 minutes, followed by a discussion at the end of each panel.

Themes and sub-themes:

  • Reverse Migration in African and African Diasporic Literatures;
  • Intra-continental African migration and return; 
  • Stylistic features of the narratives of return;
  • Themes foregrounded by the narratives of return;
  • Different temporalities of the return: from personal to inter-generational return;
  • The role of the theme of return in shaping African Literatures;
  • The ancestral return and the search for one’s origin; 
  • The evolution of the figure of the “returnee” and its narrative(s): gender and genres (travelogue, historical novel, family saga etc.) of the return;
  • The impossibility of return;
  • Editorial challenges and opportunities of writing about the return;
  • Metaphorical return;

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