João Cândido e os navegantes negros : a revolta da chibata e a segunda abolition

João Cândido e os navegantes negros : a revolta da chibata e a segunda abolition

Silvia Capanema

Présentation

Edition : Malê

Autrice : Silvia Capanema

Résumé :

En novembre 1910, plus de 2300 marins brésiliens prirent le contrôle des principaux bâtiments de guerre de la République du Brésil et braquèrent leurs canons sur la capitale Rio de Janeiro afin d’obtenir l’abolition des châtiments corporels dans la Marine. Victorieux dans un premier temps, les marins furent trahis et massacrés quelques mois plus tard, suscitant l’émotion de l’opinion publique. Devenue depuis un véritable lieu de mémoire, la « Revolta da Chibata » (Révolte du Fouet) contribua à créer un nouvel héros national : « l’amiral noir » João Cândido. L’histoire du soulèvement s’est nourrie d’appropriations et usages multiples – du mouvement social à la tradition historiographique brésilienne.

Ces jeunes hommes, pour la plupart originaires du nord-est du Brésil, noirs ou métis en majorité, formés à l’école des apprentis marins, voyageaient dans de nombreux pays étrangers où ils pouvaient échanger leurs expériences avec d’autres matelots. À bord cependant, ils demeuraient soumis à une discipline rigoureuse et confrontés à la persistance de préjugés hérités du régime esclavagiste, dans le contexte de la modernisation accélérée de la Marine de guerre. Les marins aspiraient pourtant à devenir des acteurs à part entière de ce processus et revendiquaient la liberté, condition première de la citoyenneté. Ils organisèrent une des plus importantes révoltes de la Première République et de l’histoire de l’Armada brésilienne. Un soulèvement aux implications politiques multiples marquant le passage de revendications sur l’usage du corps physique du marin à l’émergence d’une conscience commune : celle du Corps des Marins Nationaux. Ce livre propose d’analyser la révolte à l’aune des apports récents de l’histoire sociale, politique et culturelle de la période post-esclavagiste et, de manière plus générale, du XXe siècle brésilien.

(Livre en langue portugaise)

Mots-clés : Marine, Histoire de la Première République au Brésil, Révolte, Événement, Identités, Mémoire, Discipline, Circulation, Pouvoir, Citoyenneté, Corps, Ra

L’éditeur : João Cândido e os navegantes negros: a Revolta da Chibata e segunda abolição | male (editoramale.com.br)

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Appel à contribution – Itinéraires. LTC – 2023-3 : Représentations de la catastrophe au xxie siècle dans les arts plastiques et la littérature : quelles réponses collectives et intimes ?

Date limite d’envoi des propositions : 19 décembre 2022

Coordination

Elsa Ayache, Artiste et Maître de conférences en arts plastiques, École des arts de la Sorbonne (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, UFR O4), Institut ACTE, UR 7539.

Anne Coudreuse, Maître de conférences HDR en Littérature française, UFR LLSHS, Université Sorbonne Paris Nord, Pléiade, UR 7338.

Argumentaire :

Il est courant de dater du 11 septembre 2001 le réel début du XXIe siècle perçu comme une période caractérisée par les catastrophes de tous ordres, même si le catastrophisme lui-même date de 1812, quand Georges Cuvier a proposé d’expliquer la formation de la terre par une série de cataclysmes. Théorie de l’histoire des sciences, plutôt décriée et longtemps confinée à la mythologie, le catastrophisme d’aujourd’hui propose de s’en tenir à un scénario du pire face à l’avenir. Les attentats du 11 septembre inaugurent « l’irruption du possible dans l’impossible », selon la définition de la catastrophe donnée par le philosophe de sciences Jean-Pierre Dupuy dans Pour un catastrophisme éclairé. Quand l’impossible est certain (Seuil, « La couleur des idées », 2002). « Non seulement la peur de la catastrophe à venir n’a aucun effet dissuasif ; non seulement la logique économique continue de progresser comme un rouleau compresseur ; mais aucun apprentissage n’a lieu. La catastrophe n’est pas crédible, tel est l’obstacle majeur. La peur de la catastrophe n’a aucune force dissuasive. L’heuristique de la peur n’est pas une solution toute faite, elle est le problème » (p. 143-144). Est-ce encore le cas à l’été 2022 qui a vu proliférer les incendies, les canicules, la sécheresse, les inondations, et sur lequel pèse la menace de l’explosion de la centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine ? Tout se passe comme si, notamment d’un point de vue occidental, l’impossible était devenu notre quotidien et notre seul horizon. Nous pouvons d’emblée nous demander si l’art et la littérature obéissent à la même condamnation.

Le seul exemple de l’été 2022 montre que la catastrophe, planétaire, ne se donne plus à penser comme un événement unique, inédit et imprévisible. Elle se présente désormais comme un enchaînement de phénomènes en séries, elle est devenue notre actualité sans cesse renouvelée, et plus seulement notre avenir. Comme l’écrit Paul Virilio : « Devant cet état de fait d’une temporalité accélérée qui affecte les mœurs, l’art aussi bien que la politique des nations, une urgence s’impose entre toutes : celle d’exposer l’accident du Temps. Renversant de la sorte la menace de l’inopiné, la surprise devient sujet de thèse et le risque majeur sujet d’exposition dans le cadre des télécommunications instantanées. […] Ce constat d’impuissance devant le surgissement d’événements inattendus et catastrophiques nous contraint à renverser la tendance habituelle QUI NOUS EXPOSE À L’ACCIDENT, pour inaugurer une nouvelle sorte de muséologie, de muséographie : celle qui consiste maintenant à EXPOSER L’ACCIDENT, tous les accidents, du plus banal au plus tragique, des catastrophes naturelles aux sinistres industriels et scientifiques, sans éviter l’espèce trop souvent négligée de l’accident heureux, du coup de chance, du coup de foudre amoureux, voire du “coup de grâce” ! » (L’Accident originel, Galilée, 2005, p. 15-16).

Aujourd’hui, du témoignage sidéré, descriptif ou critique, des déstabilisations visuelles et signifiantes induisant doutes, remises en question voire déplacements, au développement de projets militants, alarmistes ou écoterroristes utilisant le viscéral et la peur pour éveiller les consciences et engager l’action, de quels rapports à la catastrophe témoignent les œuvres littéraires et artistiques contemporaines internationales ? Quelles intentions porte leur auteur ? Et quels impacts ont-elles sur le lecteur ou le spectateur ?

Il s’agit moins aujourd’hui pour les arts plastiques et la littérature de représenter la catastrophe que de l’incarner et d’y être, de lui apporter une figuration que de se laisser défigurer par elle, dans leurs formes, leurs pratiques et leurs définitions. Est-il encore possible d’attribuer un sens à la catastrophe par sa représentation plastique ou littéraire ?

Au-delà des genres littéraires formatés, comme les fictions éco-dystopiques ou post-apocalyptiques en plein essor, au-delà d’une instrumentalisation émotionnelle des images de catastrophe par les médias à des fins sensationnelles, idéologiques, économiques et politiques, pourrait-on voir se mettre en place une littérature ou un art catastrophés, dont la forme même serait atteinte par ce qui ne serait plus simplement un imaginaire ou une représentation de la catastrophe ? Quels types de gestes artistiques portent cette hypothèse et peuvent faire contre-point ? Quelles visions la littérature et les arts plastiques proposent-ils de la catastrophe par rapport à son traitement médiatique et à la surexposition aux images et aux mots, en temps réel ? Comment peuvent-ils à la fois fixer l’effet de sidération initial, reproductible à chaque catastrophe, et aider à le dépasser à la fois au plan intime et collectif ? Peuvent-ils aider à retourner la vulnérabilité des individus et des sociétés, en force d’action et de remédiation ? L’intime de la création artistique ou littéraire, poïétique, peut-il devenir politique, comme si « je » pouvais enfin sauver le monde, Narcisse ne se perdant plus dans sa propre image, enfermé dans son unique visage, mais se réfractant dans l’ensemble infini voué à la finitude de l’univers, humain ou non humain ?

Plusieurs questionnements et axes de réflexion se dégagent ainsi :

  • Quelles sont les expressions et re-présentations contemporaines artistiques et littéraires de la catastrophe ? À quelles positions et à quelles intentions de leurs auteurs renvoient-elles ?
  • Comment art et littérature rendent-ils compte d’une évolution de notre rapport aux catastrophes, impliquant différemment par exemple la notion de contrôle sur nos environnements urbains et naturels ? En effet, si la catastrophe naturelle n’a pas toujours été appréhendée dépendamment de nos actions, le sentiment d’impuissance ne vient-il pas aujourd’hui d’une volonté de puissance et de contrôle de tous les éléments ?
  • Du point de vue de la réception, quels sont les pouvoirs de l’art et de la littérature face à l’évidence de la catastrophe à venir ? À titre d’exemple, sur la question de la destruction du vivant, ont-ils une marge d’action possible, individuelle et/ou collective, vis-à-vis de ce paradoxe associant conscience du pire à venir et attentisme ? Comment peuvent-ils avoir un impact sur les marches politiques et économiques en cours ?
  • Plus loin, induisent-ils de nous positionner radicalement ? Ou peut-on encore penser la catastrophe dans et par la nuance ? Suffit-elle ou n’est-elle pas particulièrement nécessaire ?

Informations pratiques

Calendrier indicatif

  • 7 novembre 2022 : lancement de l’appel à contribution
  • 2 Décembre 2022 : date limite de réception des propositions
  • 9 janvier 2023 : retour du comité de coordination
  • 30 mai 2023 : date limite réception d’article V1
  • 30 juin 2023 : envoi des articles pour évaluation
  • 30 septembre 2023 : retour des évaluations
  • 30 décembre 2023 : révision des articles et envoi V2
  • Publication prévue : hiver 2024

Format de la proposition

Les propositions de contribution sous forme de résumé, accompagnées d’une notice bio-bibliographique, sont à envoyer à :

Les articles seront à remettre avant le 30 mai 2023 pour une parution du numéro à l’hiver 2024, après une évaluation de chaque contribution en double aveugle. Pour plus d’information sur la sélection et la publication des textes, consulter la page : https://journals.openedition.org/itineraires/2252.

Pour ce numéro, les auteur·trices sont invitée·s à proposer des textes de 25 000 signes minimum et 30 000 signes maximum (espaces comprises) en respectant scrupuleusement les consignes détaillées à la page suivante : https://journals.openedition.org/itineraires/2255. Les articles qui ne respecteraient pas ces normes seront retournés aux auteur·trices. avant d’être expertisés. Les contributions pourront être accompagnées d’images libres de droits et d’une résolution de 300 dpi (voir la partie « Illustrations » des consignes auteurs sur le site de la revue).

Texte complet de l’appel et informations sur le site de la revue : https://journals.openedition.org/itineraires/12113

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Silvia Capanema invitée à l’émission « Les Enjeux Internationaux » sur France Culture

Émission « Les Enjeux Internationaux » sur France Culture, jeudi 3 novembre (disponible en poadcast)

Interview avec Silvia Capanema sur les attentes et enjeux politiques au Brésil après l’élection du président Luiz Inacio Lula da Silva le 30/10/2022 dans le cadre de l’émission « Les Enjeux Internationaux » sur France Culture, début novembre (disponible en poadcast).

Les Enjeux internationaux partent pour le Brésil : le vieux président Lula, tout juste réélu 20 ans après son premier mandat, aura-t-il les moyens politiques et économiques de tenir ses promesses ? Élection très serrée et congrès sans majorité dans un pays en crise, que va devenir pour le lulisme ?

Avec

Acabou, c’est fini, les mots de Jair Bolsonaro reconnaissant sa défaite mardi devant les juges du Tribunal suprême fédéral ! Dimanche le Brésil a élu un nouveau président Luiz Ignacio Lula da Silva qui revient au pouvoir 20 ans après son premier mandat. C’est donc loin d’être un inconnu pour les Brésiliens comme pour la communauté internationale mais saura-t-il répondre aux attentes aux espoirs que porte son nom ?

Dès aujourd’hui, la transition politique est lancée au Brésil ; si le président sortant Jair Bolsonaro reste en poste jusqu’au 31 décembre, si certains de ces soutiens refusent encore de reconnaître sa défaite, organisant des barrages sur les routes, déjà, les équipes de Lula, le président nouvellement élu organisent la passation des pouvoirs et commencent à accéder aux comptes, aux programmes et aux projets du gouvernement ainsi que le prévoit la loi. Il faut bien car la tâche s’annonce rude, ne serait-ce que pour tenir le premier engagement de Lula, pris au soir de la victoire : “Notre tâche sera de faire en sorte que chacun puisse prendre un petit-déjeuner, un déjeuner et un dîner, tous les jours”, un programme consensuel pour un pays fracturé, est-ce tenable ?

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-enjeux-internationaux/bresil-lula-peut-il-encore-faire-du-lulisme-9502089

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Un monde en cartes postales. Cultures en circulation

Un monde en cartes postales. Cultures en circulation

Magali Nachtergael et Anne Reverseau dir.
Le mot et le reste (Marseille)

Présentation

Editions : Le mot et le reste (Marseille)

Autrices : Magali Nachtergael et Anne Reverseau dir.

Résumé :

Démodée la carte postale ? Avec l’essor du numérique, on aurait pu le croire. Constamment réinventée, de manière souvent critique par les artistes et les écrivains, sa fabrique et son histoire restent plus que jamais d’actualité,
autant que ses liens avec les représentations géographiques et culturelles. L’histoire de son économie et de sa diffusion à l’échelle globale est éclairée par des contributions d’artistes et de spécialistes en histoire de l’art, littérature et philosophie. Un monde en cartes postales donne à voir les circulations d’un médium d’apparence banale dans la culture moderne. Richement
illustré, cet ouvrage renouvelle notre regard sur un objet patrimonial toujours séduisant, et à portée de main.

90 illustrations en couleurs

Parution : 24/11/2022
ISBN : 9782384311019
176 pages (22 x 28,5 cm)

45.00 €

L’éditeur : https://lemotetlereste.com/artsvisuels/unmondeencartespostales/

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« Petite Histoire de la médecine : des croyances à la preuve 

Petite Histoire de la médecine : des croyances à la preuve 

Philippe Casassus

Présentation

Editions Temporis (Paris)

Auteur : Philippe Casassus

Résumé :

Le thème : montrer l’évolution (lentement) progressive de la médecine entre l’ère des croyances et celle (toute récente) de la médecine fondée sur la preuve, à partir de 10 thèmes (les épidémies, la vaccination, le sang, la thérapeutique, la goutte, etc…).

L’éditeur : https://editions-temporis.com/catalogue/precommande-petite-histoire-de-la-medecine/

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Émergence et transformations du puritanisme en Angleterre, 1559-1642

Émergence et transformations du puritanisme en Angleterre, 1559-1642

Sabrina Juillet-Garzon

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Céline Planchou invitée pour parler de Zitkála-Šá (1876-1938) – l’envolée de l’oiseau rouge

Émission radio Toute une Vie sur France Culture (Samedi 8 octobre 2022)

Céline Planchou a participé à un épisode de l’émission Toute une Vie sur France Culture sur le parcours de Zitkála-Šá, écrivaine, musicienne et militante sioux-dakota du début du vingtième siècle, diffusée le 8 octobre 2022.

Le podcast de l’épisode est disponible sur la page de l’émission : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/toute-une-vie/zitkala-sa-1876-1938-l-envolee-de-l-oiseau-rouge-3560920

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ESTHETIQUES DU DESORDRE. VERS UNE AUTRE PENSEE DE L’UTOPIE

ESTHETIQUES DU DESORDRE. Vers une autre pensée de l’utopie,
Judith Cohen, Samy Lagrange, Aurore Turbiau (dir.)

Éditions du Cavalier Bleu
2022

Contribution :

Florian Alix, Eugénie Bourlet, Rachel Boyer, Gregory Buchakjian, Quitterie de Beauregard, Caroline Dejoie, Clémentine Delaporte, Isaline Dupond Jacquemart, Élise Huchet, Azélie Fayolle, Anne Foucault, Alexandre Grondeau, Mathilde Leïchlé, Adrien Ordonneau, Marie Penicaut, Quentin Petit Dit Duhal, Alexandra Picheta, Mickaël Pierson, Mohamed Lamine Rhimi, Claire Salles, Sandrine Samii, Carlos Tello, Aurore Turbiau.

Résumé :

« L’utopie peut se penser à l’aune du désordre : telle est l’hypothèse de cet ouvrage, bâti sur une interrogation croisée des théories de l’utopie classiques et contemporaines et des mouvements de lutte sociale qui redéfinissent, depuis le XIXe siècle et jusqu’à nos jours, le sens de l’utopie. Les pensées révolutionnaires, anarchistes, féministes, queer, post- ou dé-coloniales, les philosophies cyniques, surréalistes, les imaginaires de la fête, mais aussi de la terreur, de l’effondrement, de l’apocalypse ou de la prophétie interrogent l’idée d’une utopie où aucun principe d’ordre n’est préétabli.

Il faut pouvoir rendre compte de la dimension utopiste de ces pensées révolutionnaires qui, après la rupture et l’éclatement, ne visent pas le retour à l’ordre ; il faut pouvoir penser ces lieux depuis lesquels on rêve à l’épanouissement du pluriel, de l’instable, du complexe, ces présents et futurs où la poétique de l’harmonie laisse place aux esthétiques du désordre. »

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Mathilde Lévêque invitée à l’émission « Être et savoir » sur France Culture

Emission radio sur France Culture (Lundi 3 octobre 2022)

Le lundi 3 octobre, Mathilde Lévêque était l’invitée de France Culture pour l’émission « Être et savoir ». A l’occasion des 5 ans de #MeToo, l’émission s’est intéressée à la façon dont l’école et l’éducation se sont emparées du mouvement.

Podcast à retrouver sur : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/etre-et-savoir/balance-ton-quoi-l-education-apres-metoo-1233450

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