Publications

La “renaissance littéraire” africaine en débat. Revue Itinéraires LTC, n° 2019-1. 2019

Image d'accroche du numéro 2019-2

La “renaissance littéraire” africaine en débat. Revue Itinéraires LTC, n° 2019-1. 2019

Itinéraires. Littérature, textes, cultures, n° 2019-1

Sous la direction de Wilfried Idiatha, Aurélie Journo et Magali Nachtergael

Image d'accroche du numéro 2019-2

Juillet 2019, en ligne : https://journals.openedition.org/itineraires/5620

Présentation du numéro

De nombreux auteurs africains ont connu une visibilité accrue sur la scène littéraire internationale au tournant du XXIe siècle tandis que sur le continent ont émergé des revues littéraires, des maisons d’édition locales ou des collectifs d’écrivains qui semblent témoigner d’une vitalité littéraire et créatrice retrouvée. Ces phénomènes ont été relayés dans les médias et par les critiques à travers les expressions de « renaissance » ou de renouveau (« renewal ») littéraires. Si le thème de la migration occupe une place toujours importante, de nouveaux thèmes ont fait leur apparition et des genres souvent sous-représentés ou considérés comme mineurs, science-fiction, roman sentimental ou roman policier, se sont vus réinvestis par de nombreux écrivains. Ce numéro explore les diverses facettes de la production littéraire africaine anglophone et francophone du début du XXIe siècle en vue de mettre au jour ce que l’expression de « renaissance littéraire » recouvre.

Les derniers numéros

La “renaissance littéraire” africaine en débat. Revue Itinéraires LTC, n° 2019-1. 2019 Lire la suite »

Chairissons-n♡us ! Nos corps nous parlent, Favre. 2019

Chairissons-nous

Chairissons-n♡us ! Nos corps nous parlent, Favre. 2019

de Stéphanie Pahud

Chairissons-nous

Chairissons-nus ! est une invitation à nous « rekiffer par les pores ».

« Chairir » partage les valeurs de son homophone « chérir » : la bienveillance, l’attention, le respect. Pourquoi cette orthographe, ce néologisme ? Pour rendre sa place à la chair dans les liens que tissent et cultivent ces aspirations.  

Le corps est un capital matériel et symbolique. C’est aussi un capteur et un passeur. Nos manières de le parler dessinent et peuvent renouveler nos rapports aux autres : se chairir, c’est (re)faire corps. Investir nos espaces-corps de joie et d’audace. Privilégier les rencontres et les « chocs » sur les évidences et l’immobilisme.

Chairissons-nus ! questionne autant l’image de soi, le rapport au désir, les liens corps-environnement, l’activisme féministe et le tatouage que l’anorexie ou le mouvement body positive.

Avec la participation de Frédéric Beigbeder, Sunny Buick, Artgod Father, David Foenkinos, Philippe Liotard, Dunia Miralles, Charles Moraz, Myriam Moraz-Détraz, Albert Moukheiber, Raphaël Pasquini, Pascal Singy, Fred Valet et Nys Vanessa.

Lien vers l’éditeur

Dernières publications

Jacques Ier Stuart

Jacques Ier Stuart Couverture Éditeur : Ellipses, 2024 Coordinatrice : Sabrina Juillet Garzón Dernières publications Voir toutes les publications

Lire la suite

Chairissons-n♡us ! Nos corps nous parlent, Favre. 2019 Lire la suite »

British sociability in the long eighteenth century. Challenging the Anglo-French Connection – Boydell & Brewer (Studies in the Eighteenth Century), 2019

Edited by VALÉRIE CAPDEVILLE & ALAIN KERHERVÉ

The study of sociability in the long eighteenth century has long been
dominated by the example of France. In this innovative collection, we see
how a distinctively British model of sociability developed in the period
from the Restoration of Charles II to the early nineteenth century through
a complex process of appropriation, emulation and resistance to what was
happening in France and other parts of Europe.
The contributors use a wide range of sources – from city plans to letterwriting
manuals, from the writings of Edmund Burke to poems and essays
about the social practices of the tea table, and a variety of methodological
approaches to explore philosophical, political and social aspects of the
emergence of British sociability in this period. They create a rounded
picture of sociability as it happened in public, private and domestic settings in Masonic lodges and radical clubs, in painting academies and private
houses – and compare specific examples and settings with equivalents
in France, bringing out for instance the distinctively homo-social and
predominantly masculine form of British sociability, the role of sociability
within a wider national identity still finding its way after the upheaval of
civil war and revolution in the seventeenth century, and the almost unique
capacity of the British model of sociability to benefit from its own apparent
tensions and contradictions.

The Editors

VALÉRIE CAPDEVILLE is Senior Lecturer in British Civilisation at the University
of Paris 13. ALAIN KERHERVÉ is Professor of British Studies at the Faculté des
Lettres et Sciences Humaines Victor Segalan, University of West Brittany (UBO
Brest).

The Contributors

Pierre-Yves Beaurepaire, Valérie Capdeville, Michèle Cohen, Norbert Col, Annick
Cossic, Brian Cowan, Rémy Duthille, Markman Ellis, Allan Ingram, Emrys Jones,
Alain Kerhevé, Elisabeth Martichou, Marie-Madeleine Martinet, Ian Newman, Jane
Rendall

British sociability in the long eighteenth century. Challenging the Anglo-French Connection – Boydell & Brewer (Studies in the Eighteenth Century), 2019 Lire la suite »

Géopolitique des îles, Le Cavalier Bleu Éditions. 2019

Géopolitique des iles

Géopolitique des îles, Le Cavalier Bleu Éditions. 2019

de Marie Redon

Géopolitique des iles

Espace suscitant rêves et fantasmes, l’île est souvent perçue comme une forme de laboratoire qui concentrerait des processus manifestes à l’échelle de la planète. Traditionnellement appréhendée comme objet d’enjeux stratégiques, l’approche des îles est renouvelée dans le contexte de la mondialisation. Au-delà de leurs singularités, celles-ci donnent en effet un éclairage spécifique sur les grands processus géopolitiques contemporains tels que les migrations, la régionalisation, le tourisme de masse, les paradis fiscaux, le changement climatique, etc.

Entre représentation fantasmée et réalité intrinsèque, où se situe la vérité des îles contemporaines ? Quelle est leur place sur l’échiquier géopolitique mondial ?

Marie Redon est géographe, maître de conférences à Paris 13. Ses recherches portent notamment sur les îles et les jeux d’argent.

Sommaire

  • Enjeux hérités ou contemporains : des intérêts durablement amarrés aux îles
  • La spectacularisation de l’île
  • Des îles au cœur d’un monde globalisé
Lien vers l’éditeur

Dernières publications

Jacques Ier Stuart

Jacques Ier Stuart Couverture Éditeur : Ellipses, 2024 Coordinatrice : Sabrina Juillet Garzón Dernières publications Voir toutes les publications

Lire la suite

Géopolitique des îles, Le Cavalier Bleu Éditions. 2019 Lire la suite »

Les imaginaires de la traduction. Revue Itinéraires. Littérature, textes, cultures N° 2018-2 et 3. 2019

Les imaginaires de la traduction. Revue Itinéraires. Littérature, textes, cultures N° 2018-2 et 3. 2019

Itinéraires. Littérature, textes, cultures, n° 2018-2 et 3

Sous la direction de Christina Bezari, Riccardo Raimondo et Thomas Vuong

Itinéraires. Littérature, textes, cultures, no 2018- 2 et 3 (2019)

Janvier 2019, en ligne, https://journals.openedition.org/itineraires/4504

Comment décrire et identifier l’ensemble des caractéristiques d’une traduction ? Comment le critique peut-il sonder tout ce qui existe au-delà et en deçà du texte traduit ? On propose ici de nouveaux outils théoriques pour distinguer les « imaginaires de la traduction » qui permettent d’envisager, d’un côté, la subjectivité de qui traduit (imaginaires des traducteurs et traductrices), de l’autre, les diverses conceptions et représentations de la traduction (imaginaires du traduire) impliquées dans le transfert et la transmission de textes d’un univers linguistique à l’autre. Dans les articles rassemblés ici, cette notion a été étudiée au prisme des langues européennes au sens large et des plus importantes théories traductologiques.

Introduction au numéro par Christina Bezari, Riccardo Raimondo et Thomas Vuong

La théorie des imaginaires de la traduction
The Theory of the Imaginaries of Translation

Les derniers numéros

Les imaginaires de la traduction. Revue Itinéraires. Littérature, textes, cultures N° 2018-2 et 3. 2019 Lire la suite »

Le cinéma d’Isaki Lacuesta, Paris, Mare et Martin et Centre Pompidou. 2018.

Édité par Brice Castanon-Akrami et Sergi Ramos Alquezar

Isaki Lacuesta (né à Gérone, 1975-) est cinéaste, producteur, scénariste, critique, enseignant, artiste, commissaire d’exposition, écrivain.

Le Cinéma d’Isaki Lacuesta propose dans une approche transversale d’interroger plusieurs aspects de l’œuvre du cinéaste. Les articles de différents spécialistes questionnent son travail caractérisé par sa pluralité, dès son premier long métrage Cravan vs Cravan jusqu’à son dernier film Entre dos aguas : courts métrages, longs métrages, installations, spectacles vivants.

Un discours qui s’inscrit dans une dynamique que propose le cinéaste : donner à voir et inviter à regarder à nouveau, en déplaçant les regards, en multipliant les points de vue.

Des entretiens avec le réalisateur et ses collaborateurs viennent enrichir l’ouvrage.

Y ont contribué Isaki Lacuesta, Isa Campo, Enrique Vila-Matas, Jean-Paul Aubert, Àngel Quintana, Anaïs Marshall et Frédéric Alexandre, Jean-Michel Frodon, Frédéric Maire, Pascale Thibaudeau, Josetxo Cerdán et Miguel Fernández Labayen, Marta Álvarez et Iván Villarmea, Julie Amiot-Guillouet, Sonia Kerfa, Amanda Villavieja, Domi Parra, Albert Coma, Gerard Gil et Sergi Dies, Óscar Fernández Orengo et William Klein.

Le cinéma d’Isaki Lacuesta, Paris, Mare et Martin et Centre Pompidou. 2018. Lire la suite »

Les Grands Turbulents. Portraits de groupes 1880-1980, Médiapop éditions. 2018

Présenté par Nicole Marchand-Zañartu

Certains furent tapageurs, d’autres plus discrets, voire taciturnes. Les uns nous sont familiers, les autres inconnus ou peut-être les a-t-on oubliés. Tous ont eu un projet de résistance à l’ordre du monde tel qu’il allait ou tel qu’il s’annonçait. Unis par l’amitié, la proximité intellectuelle, l’activité collective, ils ont nom : Grand Jeu, Die Brücke, Stridentistes, CoBrA, Futuristes, Der blaue Reiter, Gutaï, OBeRIou, OHO, Zero, Dada… pour n’en citer que quelques-uns. Sur leur passage ils ont laissé une production surprenante : des manifestes, des revues, des œuvres collectives, des reliefs d’expositions qui montrent leur union sous les formes les plus inventives, voire les plus extrêmes, contre l’adversité. Témoignage tangible de leur aventure commune : une photographie, parfois de fortune. Les voici graves et joueurs, naturels et sophistiqués, provocateurs et moqueurs, astres majeurs ou étoiles filantes, ils posent devant l’objectif pour l’éternité. Pour esquisser les portraits de ces Grands Turbulents à l’aide d’une photographie et de son exploration, Nicole Marchand-Zañartu a réuni cinquante-quatre auteurs, hommes et femmes, écrivain, cinéaste, poète, chercheur, historien, musicien, philosophe…

Les auteurs

Alain Barandard, Christian Barani, Thierry Paul Benizeau, Albert Bensoussan, Eduardo Berti, André Bertrand, Micheline Bonnet, François Bordes, Patrick Bouchain, Nathalie Boulouch, Marianne Bujard, Anne Cartier-Bresson, Patrice Cazelles, Simone Christ, Rémy Collignon, Boris Czerny, Isabelle Després, Gloria-Cecilia Diaz-Ortiz, Jean-Baptiste Dusséaux, Bertrand Gauguet, Julien Gourbeix, Claude Guibert, Erell Guillemer, Édith Hallauer, Thomas Hippler, Véronique Huyghe, Laurence Imbernon, Jean-Philippe Jaccard, Philippe De Jonckheere, Valdo Kneubühler, Antje Kramer, Nelly Kuntzmann, Chantal Lachkar, Jean Lauxerois, Jacques Lèbre, Anne Longuet-Marx, Nicole Marchand-Zañartu, Jean-Baptiste Para, Julia Peslier, Jovana Petrović, Jean-Louis Peytavin, Catherine Phalippou, Elisabeth Pujol, Jean- Jacques Régnier, Françoise Rivière, Waldo Rojas, Eric Schmulevitch, Jean Seisser, Erik De Smedt, Salima Tenfiche, Yves Tenret, Emilie Vabre, Laurent Wolf, David Zerbib.

Les Grands Turbulents. Portraits de groupes 1880-1980, Médiapop éditions. 2018 Lire la suite »

Le manifeste à travers les arts : devenirs d’un genre indiscipliné. Revue Itinéraires. Littérature, textes, cultures N° 2018-1. 2018

Itinéraires. Littérature, textes, cultures, no 2018-1

Sous la direction de Camille Bloomfield et Audrey Ziane

Septembre 2018, en ligne, https://journals.openedition.org/itineraires/4097

Présentation du numéro

Littérature, arts plastiques, cinéma, poésie, théâtre, architecture : tous les domaines de la création ont pour objet commun le manifeste. Texte-action protéiforme et iconoclaste, il s’inscrit à la fois dans l’histoire de sa discipline tout en bousculant ses codes, en un geste performatif d’indiscipline. Véritable « agent provocateur », remède contre la normativité qui a connu son heure de gloire à l’époque des avant-gardes, le manifeste est d’abord le texte par excellence de l’engagement de l’artiste, de l’utopie et de la révolte, questionnant sans cesse les entrelacs de l’artistique et du politique.
Ses usages contemporains, néanmoins, invitent à questionner la forme même du genre et sa subversion fondamentale : pratiqué souvent en solitaire plutôt qu’en groupe, transformé en installation, performance ou catalogue d’exposition, voire détourné à des fins publicitaires, le manifeste véhicule une imagerie de la protestation qui se fait parfois mise en scène et par là, remise en question de tout ce qu’il entendait initialement rejeter. À qui profite le manifeste ? Quels discours et engagements sert-il ? Lui est-il encore possible d’être indiscipliné ? C’est à ces questions que tente de répondre le présent numéro.

Le manifeste à travers les arts : devenirs d’un genre indiscipliné. Revue Itinéraires. Littérature, textes, cultures N° 2018-1. 2018 Lire la suite »

Publications 2013

Archives

Publications 2013

Dernières publications

Publications 2013 Lire la suite »